mercredi 9 janvier 2008

charente


Le département de la Charente (16) fait partie des divisions administratives de la France. Il a été créé sur des critères géographiques (le bassin supérieur et moyen du fleuve Charente) qui le traverse et d'où son nom a été tiré.
Sommaire[masquer]
1 Dénominations
2 Histoire
3 Politique
4 Géographie
5 Climat
6 Économie
7 Démographie
8 Culture
8.1 Langues
8.2 Audio-visuel
9 Gastronomie
10 Personnalités liées au département
11 Tourisme
12 Notes et références de l'article
13 Voir aussi
13.1 Liens internes
13.2 Liens externes
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Dénominations [modifier]
La Charente est appelée Chérente en saintongeais, et T'Charanto dans le dialecte limousin de la langue occitane.

Histoire [modifier]
Article détaillé : Histoire de la Charente.
Le département a été créé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, autour de l'Angoumois et englobe à l'ouest le cognaçais (jusqu'à Bassac) et le sud-Charente à partir de Barbezieux, qui faisaient partie de la Saintonge, et à l'est les terres limousines du confolentais,ainsi que quelques communes du Poitou au Nord et du Périgord au Sud[1].
La Charente a été habitée dès le paléolithique moyen (sites de Vilhonneur, Gardes-le-Pontaroux, Sers, Mouthiers)[2]. Au cours de la période historique il n'y avait encore jamais eu d'unité, ni politique, ni religieuse, ni judiciaire. La coupure entre l'Angoumois à l'est centré par Angoulême et la Saintonge à l'ouest centrée sur Cognac qui existait déjà chez les Celtes et a perduré jusqu'à la Révolution n'a d'ailleurs pas totalement disparu.
La Saintonge est ainsi nommée car elle était le territoire des Santons, mais c'est une autre tribu gauloise qui occupait l' Angoumois. Toute la Charente a été une riche région gallo-romaine et il reste en particulier de cette époque les thermes de Chassenon et le théâtre des Bouchauds.
Suite aux troubles et invasions se sont érigées des places fortes, et entre le Xe siècle et le XIIe siècle chaque village a construit son église romane. Villes et châteaux fortifiés (Cognac, Angoulême, Villebois-Lavalette…) ont été mis à mal durant la guerre de 100 ans et l'occupation anglaise. Reconstruits ils ont souffert des Guerres de Religion, qui ont été un désastre pour ce département (départ de plus de 50% des artisans)[3].
Les Charentais ont formé une partie importante des colons de la Nouvelle-France (Québec).
Durant la Révolution, peu de choses se sont passées et la Terreur a été très modérée.
Le commerce se faisait par le fleuve (sel, cognac, matériaux…) et diverses industries (papeteries, fonderies..) datent du XVIIe siècle. Le XIXe siècle avec la révolution industrielle et le commerce du cognac a été une période de grande richesse. La crise engendrée par le phyloxera a provoqué un fort exode rural. À cette baisse de population s'est ajoutée les saignées des guerres et la Charente n'a toujours pas retrouvé son niveau de population de 1821[4].
Durant la Seconde Guerre mondiale, sa position coupée en deux par la ligne de démarcation avec l'Ouest, zone occupée, et l'Est, zone libre explique l'organisation rapide de réseaux de résistance[5].

Politique [modifier]
Article détaillé : Politique de la Charente.
La Charente a voté massivement Bonapartiste à l'élection de 1848, par désir de paix. Vigny écrivait "la Charente n'est qu'une Vendée Bonapartiste". Elle va le rester jusqu'à la fin du XIXe siècle et en 1889 seul le Confolentais vote Républicain alors qu'Angoulême élit Paul Déroulède, et ce n'est qu'après l'élection partielle de 1906 que le département deviens totalement Républicain. Lors de l'élection partielle de 1939, Marcel Déat est élu en remplacement de René Gounin, USR comme lui, devanu sénateur.
Au sortir de la guerre, les quatre députés élus le 10 novembre 1946 sont 1 PC, 1 socialiste, 1 RGR (radical) le jeune Félix Gaillard et 1 MRP. Dans le même temps les deux sénateurs élus sont plus modérés, ce sont Guy Pascaud juste de retour de déportation et Pierre Marcilhacy qui seront ensuite réélus constamment jusqu'en 1980.
A partir de 1958 le scrutin deviens majoritaire de circonscription, ce qui est très défavorable pour la gauche. Le PC entame une lente descente et malgré encore environ 23% des voix n'a plus de député. Les trois députés élus sont un UNR, Raymond Réthoré, un conservateur Républicain Indépendant, Jean Valentin, et un Radical Félix Gaillard. Ils seront réélus en 1962 et 1967.
À l’élection présidentielle le général De Gaulle obtient une large majorité : 53,12% en 1965, et aux élections législatives de juin 1968 ce sont deux UNR qui sont élus, Raymond Réthoré et Michel Alloncle. Félix Gaillard sauve son fauteuil mais après sa mort accidentelle en 1970 il est remplacé par un troisième député UNR, Francis Hardy.
L’élection présidentielle de 1974, et le score de 54,01% de François Mitterrand au second tour, marquent l'essor de la gauche : Jean-Michel Boucheron, PS, est élu maire d'Angoulême en 1977 et député en 1978. André Soury PC retrouve le siège de Confolens qu'il avait perdu en 1958, et si Francis Hardy garde le siège de Cognac, il va le perdre en 1981 au profit de Bernard Vilette, PS. La Charente est passée de trois députés de droite en 1970 à trois députés de gauche en 1981.
Mais les électeurs ruraux restent conservateurs et en 1980 ce sont Pierre Lacour et Michel Alloncle qui sont élus sénateurs, et en 1982 le conseil général reste à droite avec 19 conseillers contre 16 et Pierre-Rémy Houssin, maire de Baignes-Sainte-Radegonde en prends la présidence.
Au législatives de 1986, les résultats s'équilibrent, Jean-Michel Boucheron et Jérôme Lambert pour le PS, Francis Hardy pour l'UNR et Georges Chavanes pour l'UDF[6].Georges Chavanes entre au Gouvernement, et c'est Pierre-Rémy Houssin qui devient député
Georges Chavanes à Angoulême et le RPR Pierre-Rémy Houssin à Cognac sont élus en 1988 et réélus ensuite, Jean-Claude Beauchaud le suppléant de Jean-Michel Boucheron le remplace 1993, tandis que Jérôme Lambert est battu par le gaulliste Henri de Richemont mais récupère son siège en 1997 [7].
En 1997, c'est donc le retour de Jérôme Lambert à Confolens, l'arrivée à Cognac de Marie-Line Reynaud, à Angoulême de Jean-Claude Viollet et la réélection de Jean-Claude Beauchaud avec 65 % au second tour.
En 2002, Jérôme Lambert, Jean-Claude Beauchaud et Jean-Claude Viollet sont réélus, mais Jacques Bobe, prends son siège à Marie-Line Reynaud qui le récupère en 2007 alors que Martine Pinville remplace Jean-Claude Beauchaud ( Martine Pinville était la candidate des militants se présentant contre Malek Boutih parachuté par le PS national)[8].
Le conseil général voit une poussée de la gauche en 2001 (et l'élection du premier conseiller général vert, Patrik Fontanaud) et son basculement à gauche aux élections de 2004. Michel Boutant PS en devient le président.
Les grandes villes Angoulême et Cognac restent UMP, Jarnac est PS mais la plus grande partie des communes sont dirigées par des listes "d'intérêts communaux" sans tendance marquée[9].
Liste des députés de la Charente
Liste des sénateurs de la Charente
Liste des conseillers généraux de la Charente
Liste des préfets de la Charente

Géographie [modifier]

Carte de Charente
Les divisions administratives sont :
Arrondissements de la Charente
Cantons de la Charente
Intercommunalités de la Charente
Communes de la Charente
Anciennes communes de la Charente
Article détaillé : Géographie de la Charente.
La Charente fait administrativement partie de la région Poitou-Charentes.
Elle est limitrophe des départements de la Vienne, de la Haute-Vienne, de la Dordogne, de la Charente-Maritime et des Deux-Sèvres.
Les frontières du département de la Charente coïncident avec les limites des bassins supérieurs et moyen du fleuve charente, ce qui lui fait englober des régions géographiquement très différentes qui sont d'amont en aval:
Le Confolentais ou Charente limousine à l'Est du département, au sol constitué de roches cristallines imperméables, qui est géographiquement situé en Limousin. Cette région a été témoin d'un évènement majeur il y a 214 millions d'années, l'impact d'une météorite de plus d'un kilomètre de diamètre qui est tombée à Pressignac, à mi-chemin entre Chassenon et Rochechouart.
Jusqu'à Mansle la pente de la charente est forte et les méandres de court rayon[10].
En Angoumois puis en Saintonge la pente de la charente est faible et régulière et le fleuve marque de très larges méandres. La Charente et ses affluents traversent en Angoumois des plateaux calcaires fissurés générateurs de gouffres et de résurgences et sur le reste de son bassin versant des terrains imperméables mais aussi des calcaires qui une fois gorgés d'eau se comportent comme des terrains imperméables.
Ses affluents sont de plusieurs types :
Tardoire, Bandiat, Bonnieure qui disparaissent en partie dans des crevasses et alimentent le karst lequel est garant d'un débit d'étiage minimum.
la Touvre, résurgence née de deux sources, le Dormant et le Bouillant.
l'Aume, la Soloire, l'Antenne et le affluents qui coulent sur terrain imperméable et grossissent aux moindres pluies.
Les crues sont habituelles, et l'eau commence par recouvrir les zones de marais et les prairies qui bordent la Charente et ses affluents. Quand l'eau monte plus, environ tous les 20 ans a lieu la vraie crue avec routes coupées, bas quartiers d'Angoulême, Jarnac et Cognac inondés et en 1960 de Châteauneuf-sur-Charente à l'embouchure les prés ne formaient qu'un immense lac.
D'Angoulême à Saintes de nombreux ouvrages, écluses, canaux, barrages, rendent le fleuve navigable, maintenant uniquement pour la promenade.
Le département de la Charente comporte 24 zones Natura 2000 situées certaines en totalité d'autres en partie sur son territoire, vallée du fleuve Charente et de ses affluents, chaumes et autres types d'habitats pour oiseaux, chauves-souris, loutre et vison d'europe ou orchidées.

Climat [modifier]
Article détaillé : Climat de la Charente.
Le département de la Charente a un climat océanique de Cognac jusqu'à Angoulême qui se modifie en allant d'ouest vers l'est en climat océanique dégradé.
Dans le Confolentais les précipitations sont plus importantes et, l'hiver, le froid est plus marqué.
Les orages sont habituels, sous forme de phénomènes localisés ou plus étendus.
Le vent est le plus souvent d'ouest-nord-ouest en particulier lors des tempêtes dont la plus violante a été la tempête Martin avec des vents de plus de 140 km/h sur l'ensemble du département. Moins fréquement le département est soumis à des vents nord-est.

Économie [modifier]
La Charente est caractérisée par deux entités économiques distinctes avec deux chambres de commerce, celle d'Angoulême et celle de Cognac. Les activités communes et affinités sont si faibles que la CCI de Cognac envisage de s'associer à celle de Rochefort plutôt qu'à celle d'Angoulême[11]
Les activités traditionnelles sont la papeterie, le Cognac, les tuileries et briqueteries et les fonderies.
les activités extractives sont essentiellement
dans le secteur de Roumazières-Loubert l'argile pour les briques et les tuiles ( fabrication de 1/6) des tuiles françaises) principalement par Terreal, anciennement Tuileries et Briqueteries Françaises (TBF).
près de Cognac, à Cherves-Richemont le gypse pour le platre et maintenant pour l'usine Placoplatre.
la pierre calcaire qui était exploitée pour la pierre de taille l'est pour les granulats.
la marne grise pour la cimenterie Lafarge SA de La Couronne.
l'argile blanche d'Oriolles et de Chantillac.
l'agro-alimentaire
le Cognac avec 47 131 Ha de vignes qui représentent 45% des revenus agricoles du département, des bouilleurs de cru et de profession et une centaine de négociants qui assurent 40% des exportations du Poitou-Charentes[12].
Article détaillé : Cognac (eau-de-vie).
les laiteries pour le beurre et le fromage sont en déclin, comme l'industrie de la viande bien que l'élevage reste une activité importante.
l'industrie
la papeterie est en fort déclin, après la fermeture du Nil mais avec toujours ICP (Industrie Papetière Charentaise).
la fonderie existe depuis sa création par le marquis de Montalembert en 1750, elle devient fonderie royale en 1755.
la poudrerie devenue SNPR
les industries électriques avec surtout Leroy-Somer
la verrerie avec Saint-Gobain qui a repris l'usine de Claude Boucher.
les autres industries liées au cognac : cartons, étiquettes, transport, matériel agricole, tonnelleries, materiel de distillation.
Article détaillé : Économie de la Charente.

Démographie [modifier]
Les habitants de la Charente sont les Charentais.
Article détaillé : Démographie de la Charente.
La population du département reste stable aux environs de 340 000 habitants, chiffres semblables à ceux d'avant la révolution ou du début du XIXe siècle, mais les cantons ruraux de l'Est du département ont subi un exode important alors que l'agglomération d'Angoulême augmentait jusqu'à représenter le 1/3 de la population.

Culture [modifier]

décor Renouleau traditionnel
La Charente montre sa culture dans son patrimoine bâti, et ses faïenciers, peintres, sculpteurs, ses poètes et ses écrivains, dont nous avons la trace depuis la "cour de Cognac" de Louise de Savoie.
Article détaillé : Culture en Charente.
Comment résumer entre le patrimoine des églises romanes, des châteaux renaissances comme La Rochefoucauld, des poètes (d'Alfred de Vigny à la Tour du Feu), des peintres et des faïenciers, des écrivains (de Jean-Louis Guez de Balzac, François de la Rochefoucauld et Jean-Baptiste de La Quintinie jusqu'à« l'École de Barbezieux ») ? Seul l'article détaillé peut donner un aperçu de la vie culturelle en Charente.

Langues [modifier]
Article détaillé : culture en Charente.
Le département de la Charente est traversé du nord au sud par la frontière linguistique oc/oïl (enquête de Tourtoulon et Bringuier, 1873, rééditée en 2004).
Le saintongeais. La zone ouest bien plus étendue (qui comprend Chalais, Barbezieux-Saint-Hilaire, Angoulême, Jarnac, Cognac, Villefagnan, Ruffec) appartient au saintongeais qui est une langue d'oïl. Le patois charentais est une appellation à laquelle certains sont attachés, pour désigner le saintongeais.
Article détaillé : Saintongeais.
Il donne lieu à une importante production littéraire et artistique,les derniers en date étant les Binuchards et leur rock charentais (Olà buffé est connu de tous)
L'occitan. À l'est, la zone comprenant Aubeterre, Villebois-Lavalette, Montbron, La Rochefoucauld, Saint-Claud, Champagne-Mouton, Confolens appartient au domaine de l’occitan ou langue d'oc (sous la variété du nord-occitan et plus précisément du limousin). On parle parfois de Charente Périgourdine et de Charente Limousine (Charanta Lemosina) ou plus simplement de Charente occitane (Charanta Occitana). Celle-ci se situe à la frontière nord-ouest de l'Occitanie.

Audio-visuel [modifier]
Les Journaux sont la Charente libre et Sud-Ouest édition Charente
La Charente est divisée entre France Bleu La Rochelle et France Bleu Limousin
France 3 Limousin Poitou-Charentes [13]

Gastronomie [modifier]
plats
cagouilles (les escargots petit-gris) soit grillées, soit en sauce ou encore farcis à la chair à saucisse.
daube de beu (bœuf)
sauce de pire et gigourit : sortes de civet de porc qui diffèrent par leur composition (lard, gorge, tête, poumons, sang..)
gros grillon et grillon charentais
légumes
melon nature ou au Pineau des Charentes
fèves à la croque au sel
baraganes (poireau de vignes, de goût différent du poireau cultivé) cuit, tiède, vinaigrette.
mogettes (haricots)
fromage
caillebottes.
desserts
merveilles (sorte de beignets)
millas (gâteau à base de farine de maïs, c'est un "étouffe chrétien")
cornuelle : gâteau triangulaire à trou central, en pâte sablée garnie de grains d'anis. Elle viendrait des très anciennes fêtes païennes du printemps
Galette charentaise. Plus moelleuse que le broyé poitevin beaucoup plus dur
"Pine fourrée" : Pâte à chou en forme de sexe masculin, fourrée à la crème chantilly ou à la crème anglaise. Originaire de la région de Barbezieux (Sud Charente). Confectionnée à Pâques exclusivement.
alcools
Cognac
Pineau des Charentes (rosé ou blanc)
Brûlot Charentais
autres
ail, condiment indispensable au charentais et aillet durant tout le printemps
brin d'aillet du 1er mai : ce matin là en-cas festif avec aillet cru, pain, grillon, fromage frais, ...fête qui serait d'origine gauloise
raisiné (compote cuite dans le jus de raisin réduit)

Personnalités liées au département [modifier]
Charles d'Orléans (1459-1496)
Louise de Savoie (1476-1531), duchesse d'Angoulême, duchesse d'Anjou et comtesse du Maine
Marguerite d'Angoulême
François d'Angoulême, communément appelé François 1er, est né le 12 septembre 1494 à Cognac. Il fut Roi de France de 1515 à sa mort, en 1547.
Octavien de Saint-Gelais
Mellin de Saint-Gelais
Guy Chabot de Saint-Gelais, 7° baron de Jarnac, (1514,† 6 août 1584), auteur du célèbre Coup de Jarnac le 10 juillet 1547.
Élie Vinet
Jean-Louis Guez de Balzac
François de la Rochefoucauld
Jean-Baptiste de La Quintinie né à Chabanais
L'abbé Jean-Pierre Rousselot, un des fondateurs de la phonétique expérimentale, est né le 10 octobre 1846 à Saint-Claud et mort le 16 décembre 1924 à Paris. Il a été professeur de phonétique expérimentale au Collège de France.
Alfred de Vigny qui séjournait au Maine-Giraud
Burgaud des Marets (Jean-Henri), poète saintongeais, né à Jarnac le 2 novembre 1806, décédé à Paris le 6 octobre 1873.
Jacques Chardonne
Henri Fauconnier
Odette Comandon, auteur de comédies et de contes, actrice et conteuse patoisante (Angoulême 1913 – † Royan 1996).
Louis Delage
Claude Boucher
Félix Gaillard, député
Guy Pascaud, sénateur
Pierre Marcilhacy, sénateur
Jean Monnet est né à Cognac le 9 novembre 1888. Il fut l'un des pères fondateurs de l'Union européenne.
François Mitterrand né à Jarnac (1916 - 1996), fut président de la République de 1981 à 1995. Il est enterré à Jarnac.

Tourisme [modifier]
Article détaillé : Tourisme en Charente.

Notes et références de l'article [modifier]
"la Charente de la préhistoire à nos jours", ouvrage collectif,Ed Bordessoules,1986,ISBN 2-903504-21-0
A. Debenath et J.F. Tournepiche, Néandertal en Poitou-Charentes, Association régionale des musées en Poitou-Charentes.
"la Charente de la préhistoire à nos jours", ouvrage collectif, Ed Bordessoules, 1986, ISBN 2-903504-21-0
"la Charente de la préhistoire à nos jours", ouvrage collectif, Ed Bordessoules, 1986, ISBN 2-903504-21-0
Le maquis charentais Bir Hacheim, Raymond Troussard,1981, SAJIC Angoulême, dépôt légal n°1455
La Charente de la préhistoire à nos jours, ouvrage cité, partie en collaboration,
Hébergement de site, serveur dédié, serveur privé virtuel
Hébergement de site, serveur dédié, serveur privé virtuel
Hébergement de site, serveur dédié, serveur privé virtuel
la Charente, ouvrage collectif,Ed Bordessoules,1986,ISBN 2-903504-21-0
Journaux Sud-Ouest et Charente Libre du 18 au 21/09/2007
p360 la Charente, ouvrage collectif, Ed Bordessoules, 1986, ISBN 2-903504-21-0
Limousin Poitou-Charentes France 3 France 3 Limousin Poitou-Charentes

Voir aussi [modifier]

Liens internes [modifier]
Conseil général de la Charente
La Charente, le fleuve qui a donné son nom au département
Département français
Liste de ponts de la Charente

Liens externes [modifier]

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur la Charente.
Préfecture de la Charente
Conseil général de la Charente
Comité départemental du tourisme
Official Charente Tourist Board (en anglais)

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