La nuit des chimères au Mans
Un spectacle féérique à ne pas manquer

Pour les mots techniques consulter le glossaire

Chaque soir d'été, la cité des Plantagenet, accueille les ombres et les lumières éphémères du spectacle La Nuit des chimères. La muraille romaine, en bordure de la Sarthe, est envahie par un bestiaire romain tandis que les Anges musiciens s'échappent d'une fresque de la cathédrale St Julien pour donner un concert céleste sur le porche principal de l'édifice. La Nuit des Chimères est une création originale de l'agence Skertzò, pour la Ville du Mans, avec Hélène Richard et Jean-Michel Quesne.

Les anges musiciens (qui sont la réplique de la fresque située sous la voûte de la chapelle de la Vierge) jouent chaque soir leur concert céleste sur la façade de la cathédrale Saint-Julien. Un groupe d’anges jouent de différents instruments en usage au Moyen-âge, dont certains sont aujourd’hui disparus. Un compositeur contemporain, Richard Dubugnon, a mis l’ensemble en musique en s’inspirant des sonorités médiévales parvenues jusqu’à nous.

Le bestiaire romain reprend le motif original de la muraille gallo-romaine du Mans du IIIème siècle, y appliquant un défilé d’images en cinémascope, évoquant la période romaine, le temps des Cénomans (la peuplade qui a donné son nom au Mans), le développement de la ville au Moyen-âge et toutes sortes de créatures fantastiques, antiques et médiévales. La bande-son est de Emmanuel Denis.

Les grylles, créatures sans corps composées d’une tête difforme dotée de bras et jambes et issues de l’imaginaire médiéval sont projetées sur les façades ou dessinées sur le verre des lampadaires de la vieille ville, ces inquiétantes figures indiquant aux visiteurs le chemin à suivre pour se rendre d’un point d’animation à un autre.
La Dame Blanche, évoquant la reine Bérengère, veuve de Richard Cœur de Lion, roi d’Angleterre et comte du Maine, est projetée sur un rideau d’eau,. Habillée à la façon du gisant de pierre de la reine Bérengère, visible à l’abbaye de l’Épau, cette apparition évolue dans le jardin du musée de la Reine-Bérengère, dans la rue du même nom.
La palestre, sorte de gymnase antique, est projetée sur la muraille entre les deux tours situées rue Saint-Hilaire. Des athlètes, hommes et femmes, s’entrainant à l’exercice de la lutte, du pugilat ou du pancrace, apparaissent, suivis par un ballet de masques de théâtre, équipés de bras et jambes à la façon des grylles, tout cela mis en musique par Emmanuel Denis.

Pour plus d’informations, voir le site de l’office du tourisme du Mans: http://www.nuitdeschimeres.fr/
Un spectacle féérique à ne pas manquer

Pour les mots techniques consulter le glossaire

Chaque soir d'été, la cité des Plantagenet, accueille les ombres et les lumières éphémères du spectacle La Nuit des chimères. La muraille romaine, en bordure de la Sarthe, est envahie par un bestiaire romain tandis que les Anges musiciens s'échappent d'une fresque de la cathédrale St Julien pour donner un concert céleste sur le porche principal de l'édifice. La Nuit des Chimères est une création originale de l'agence Skertzò, pour la Ville du Mans, avec Hélène Richard et Jean-Michel Quesne.

Les anges musiciens (qui sont la réplique de la fresque située sous la voûte de la chapelle de la Vierge) jouent chaque soir leur concert céleste sur la façade de la cathédrale Saint-Julien. Un groupe d’anges jouent de différents instruments en usage au Moyen-âge, dont certains sont aujourd’hui disparus. Un compositeur contemporain, Richard Dubugnon, a mis l’ensemble en musique en s’inspirant des sonorités médiévales parvenues jusqu’à nous.

Le bestiaire romain reprend le motif original de la muraille gallo-romaine du Mans du IIIème siècle, y appliquant un défilé d’images en cinémascope, évoquant la période romaine, le temps des Cénomans (la peuplade qui a donné son nom au Mans), le développement de la ville au Moyen-âge et toutes sortes de créatures fantastiques, antiques et médiévales. La bande-son est de Emmanuel Denis.

Les grylles, créatures sans corps composées d’une tête difforme dotée de bras et jambes et issues de l’imaginaire médiéval sont projetées sur les façades ou dessinées sur le verre des lampadaires de la vieille ville, ces inquiétantes figures indiquant aux visiteurs le chemin à suivre pour se rendre d’un point d’animation à un autre.
La Dame Blanche, évoquant la reine Bérengère, veuve de Richard Cœur de Lion, roi d’Angleterre et comte du Maine, est projetée sur un rideau d’eau,. Habillée à la façon du gisant de pierre de la reine Bérengère, visible à l’abbaye de l’Épau, cette apparition évolue dans le jardin du musée de la Reine-Bérengère, dans la rue du même nom.
La palestre, sorte de gymnase antique, est projetée sur la muraille entre les deux tours situées rue Saint-Hilaire. Des athlètes, hommes et femmes, s’entrainant à l’exercice de la lutte, du pugilat ou du pancrace, apparaissent, suivis par un ballet de masques de théâtre, équipés de bras et jambes à la façon des grylles, tout cela mis en musique par Emmanuel Denis.

Pour plus d’informations, voir le site de l’office du tourisme du Mans: http://www.nuitdeschimeres.fr/
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